Les Cités Elfiques

// Pas fini ! //



I. HISTORIQUE :

//ici seront indiqués les principaux évènements importants sur cette civilisation, sous forme de liste//


II. ORGANISATION SOCIALE :

___ Avant l'arrivée des troupes de Caton, aucun pouvoir central n'existait pour organiser la société et l'économie sur l'ensemble de la zone géographique occupée par les Cités Elfiques. Si l'on parle de «Cités» c'est d'ailleurs en référence à ce système socio-économique particulier aux elfes de cette région (et d'ailleurs aussi), où chaque grande cité représente un pouvoir indépendant et autonome à elle-seule.
___ Un système de seigneurie, en quelque sorte, mais où l'autorité n'est pas aux mains d'un seigneur, autrement dit d'un noble titré, mais d'une bourgeoisie commerçante et noblière, plus apparentée au Senat romain. Un groupement d'individus, variant en nombre selon la cité, était donc en charge des divers besoins de la population et de l'économie locale, s'appuyant sur les ressources avoisinantes à disposition et sur une importation/exportation limitée.
___ La classe dirigeante était donc un mélange entre une noblesse de sang vieillissante et les plus gros ou populaires commerçants de la ville. En-dessous, on trouvait une masse importante de petits ou moyens commerçants-artisans qui fournissaient l'ensemble des produits finis. Au plus bas de l'échelle sociale, la masse laborieuse de ceux qui travaillaient dans les champs, carrières et mines, fournissant quant à eux l'ensemble des matières premières en échange d'une rémunération payée par la ville.
___ Le Roi, dans tout cela, n'avait qu'un pouvoir de prestige, dernier vestige de la noblesse qui finissait par se fondre dans la grande bourgeoisie.

___ L'arrivée de Caton n'ébranla pas l'organisation sociale. Elle ne fit qu'éliminer les éléments obsolètes et remplaça certains autres par ses propres forces. Ainsi, le Roi fut évincé sans véritable heurt, la grande bourgeoisie commerçante céda son autorité en contrepartie de l'assurance du développement de ses profits, et un pouvoir central fut créé, répondant par là-même à cette demande.
___ A ce jour, les Cités Elfiques ne sont plus le rassemblement de plusieurs entités distinctes, mais une seule et unique entité dirigée par l'organisation catonienne.
___ Chaque classe sociale a conservé son rôle économique, mais le pouvoir politique a été pris en main par l'Ordre religieux de Caton. Un Ordre pyramidal avec à sa base le gros des troupes militaires assurant l'ordre et la sécurité sur l'ensemble du territoire des Cités. Cette base est répartie entre trois grandes commanderies, installées dans les trois plus grandes villes, XXXX, XXXX et XXXX, et qui ont en charge chacune l'une des trois zones issues du découpage géographique du territoire.
___ Ces commanderies, sous l'égide chacune d'un Chevalier d'Elite, est sous l'autorité de l'Archiprêtre de l'Ordre ; ce dernier étant aux ordres de Caton lui-même.

Pour plus de détails sur l'Ordre de Caton, voir.... ici.


III. COMMERCE :

___ Avant la «centralisation», le commerce entre ces cités était donc existant mais très faible, ceci étant principalement dû à la mauvaise qualité des voies de communication ; celle-ci étant la conséquence d'une politique d'entretien inexistante. Bien qu'évoluant de façon relativement harmonieuse sur l'ensemble du territoire, chaque cité n'en évoluait pas moins de façon quasi-autarcique, et par conséquent très limitative.
___ C'est le développement local de la production et donc des besoins d'expansion des échanges commerciaux qui facilita le travail de Caton dans les Cités Elfiques. Celui-ci se contenta d'aller dans le sens du développement commercial, en l'appuyant de ses forces et en en prenant la tête. En faisant cela, il a évincé du pouvoir politique la grande bourgeoisie qui était trop contente de voir ses intérêts faire un tel bon en avant grâce à la centralisation et à l'éclatement du système autarcique.
___ Même si les rivalités entre les cités étaient réelles avant cela, les seuls conflits qu'elles connaissaient étaient de type commercial, et ne nécessitaient aucunement l'intervention d'une force armée. Ainsi, ces villes n'en possédaient pas. Caton apporta dans ses bagages l'élément-clef lui assurant la réussite de l'introduction de son pouvoir central : une armée totalement fidèle, organisée, et capable de travailler toute la journée sans interruption.

___ La première tache de cette armée fut d'assurer la construction et la sécurité des routes de communication entre les villes, garantie d'une progression rapide des échanges commerciaux. Une grande voie principale large et pavée, à l'image de celle que l'on peut trouver dans les XXI Provinces, fut construite aussi à cet effet, faisant la jonction efficacement entre les trois grandes cités, et entre les Cités Elfiques et les XXI Provinces (dans un deuxième temps).
___ Le commerce fit le bond attendu, aidé en cela par l'ajout de nouveaux capitaux et des accords avec l'Etranger (XXI Provinces et Immua essentiellement).
___ Durant les premières années du changement, les anciens «commerçants-sénateurs» jubilèrent de voir toutes les possibilités qui s'ouvraient à eux. Puis, une fois rassasiée de son bonheur financier, cette classe sociale se mit à regretter d'avoir laissé si aisément les rennes du pouvoir à l'Eglise de Caton. Les plus ambitieux revendiquèrent le droit de participer à la vie politique des cités.
___ Les autorités catoniennes, après les avoir fait mijoter un moment, accéda à leur requête en leur offrant quelques postes à responsabilités, notamment relatifs à la gestion financière et commerciale, accompagnés de certains privilèges.
___ Ce n'est absolument pas pour leur offrir plus de liberté que Caton accepta cela, mais au contraire pour lier ces potentats locaux plus étroitement à lui. Quelques temps après avoir offerts ces postes, des ordres drastiques furent énoncés par les commanderies : chaque cité devait répondre à des objectifs de production et de réussite, et tout manquement serait immanquablement et sévèrement châtié par l'Ordre. Aucun droit à l'erreur n'était toléré. Les «ambitieux» étaient par conséquent obligés de s'investir véritablement pour conserver leur pouvoir, leurs privilèges, voire leur vie.
___ C'était un moyen de lutter contre ces éventuels parasites sociaux, tout en faisant participer le sommet de la société civile au fonctionnement des cités. Une façon de les compromettre en somme !


IV. TECHNOLOGIE, ARCHITECTURE ET ARTS :

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dignitaire catonien